
Eh bien eh bien, comme on y va. A peine ouvert, voilà que je me remets à vous poster un article. Vous ? Bon c'est pour l'unique visiteur actuel. Et les futurs qui je l'espère, se presseront tous à l'accueil de ce petit blog, par centaines, que dis-je, par milliers !
Vous savez, je me demande encore ce qui va en ressortir. Me mettrai-je à diluer mes malheurs sur ces pages ou resterai-je pudique et les billets impersonnels et ennuyeux ?
Je penche déjà vers les petites déceptions de la vie, toutes ces conneries qu'on a envie de partager. Étonnamment, j'ai une petite vie tout à fait agréable, au fond... Mais voilà, nous sommes tous égaux face au malheur et la misère n'a rien à voir avec ça.
Qu'en est-il de l'amour ? Ah l'amour, ha ha, ça me fait doucement rire et pourtant j'ai toujours tendance à le prendre au sérieux. J'aime énormément de personnes.
  
"How's Lucy ?
It's over.
Well I liked her.
You never met her.
I liked her anyway."
Je ne sais pas à quoi c'est dû. Pourtant j'ai aussi cette facilité à mépriser une grande partie de ceux qui croisent mon chemin. Ne vous méprenez pas : vous croisez mon chemin plus que je ne croise le vôtre.
Toutes mes relations sont basées sur des choses différentes. J'apprends des gens, ou tout du moins j'y mets le plus de volonté possible. Vous êtes là pour moi ; ça a toujours été mon discours et le sera pour longtemps encore. Connaître les gens est une chose fascinante. Jamais je n'ai connu personne et suis admiratif devant les rares à y parvenir. M'est avis que lorsque l'on connait une personne entièrement, dans son essence même, on est bien proche de sa propre Humanité. Ce que j'écris là peut paraître un peu naïf ; je suis naïf (et je vous emmerde).
Rien ne me plaît plus que découvrir l'autre, semblable à moi-même et pourtant d'un mystère total.
Vous savez, je me demande encore ce qui va en ressortir. Me mettrai-je à diluer mes malheurs sur ces pages ou resterai-je pudique et les billets impersonnels et ennuyeux ?
Je penche déjà vers les petites déceptions de la vie, toutes ces conneries qu'on a envie de partager. Étonnamment, j'ai une petite vie tout à fait agréable, au fond... Mais voilà, nous sommes tous égaux face au malheur et la misère n'a rien à voir avec ça.
Qu'en est-il de l'amour ? Ah l'amour, ha ha, ça me fait doucement rire et pourtant j'ai toujours tendance à le prendre au sérieux. J'aime énormément de personnes.
  "How's Lucy ?
It's over.
Well I liked her.
You never met her.
I liked her anyway."
Je ne sais pas à quoi c'est dû. Pourtant j'ai aussi cette facilité à mépriser une grande partie de ceux qui croisent mon chemin. Ne vous méprenez pas : vous croisez mon chemin plus que je ne croise le vôtre.
Toutes mes relations sont basées sur des choses différentes. J'apprends des gens, ou tout du moins j'y mets le plus de volonté possible. Vous êtes là pour moi ; ça a toujours été mon discours et le sera pour longtemps encore. Connaître les gens est une chose fascinante. Jamais je n'ai connu personne et suis admiratif devant les rares à y parvenir. M'est avis que lorsque l'on connait une personne entièrement, dans son essence même, on est bien proche de sa propre Humanité. Ce que j'écris là peut paraître un peu naïf ; je suis naïf (et je vous emmerde).
Rien ne me plaît plus que découvrir l'autre, semblable à moi-même et pourtant d'un mystère total.

ta photo, c'est faust et moi dans 50 ans ? Ca me plait ^^
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