and a happy new year

Bon eh bien ça y est, ce soir c'est le réveillon. Je suis de bien meilleure humeur, espérons que ça dure. Je repense à l'année dernière et c'est vraiment pas pareil...
En tout cas, je souhaite à tous ceux qui ne seront pas avec moi de bien s'amuser avec leurs amis, puis à tous ceux qui seront en ma compagnie ben... on verra bien !

i feel fabulous

it's ok guys, I feel muuuuch better !

truthfulness

I heard someday somewhere that lies are like wishes.

It helps me trust you when I doubt.

happy halloween

Vrek vous souhaite de passer de bons moments en famille.

feathery rain

On dirait que tout le monde en parle...
C'est vrai que ça change.
C'est vrai que c'est blanc et qu'on n'en a pas l'habitude ici.

seems it's ✔DONE

before you break my heart...

reinvention

On peut pas changer de masque, pas vrai ? On peut juste tenter d'ajouter encore et encore différentes couches de personnalité, on peut juste cacher ce qu'il y avait en dessous...

let me introduce myself

Je viens de passer une soirée comme il y avait longtemps que je n'en avais pas passé.
Pour la première fois, j'ai expérimenté ce que l'on pourrait appeler un blind date ! C'était étrange... J'avais pas envie au début. Même que c'est des gens que je connais pas qui nous ont mis en relation. Comme ça. Genre ouais faudrait que vous vous voyiez ce serait sympa. Ah bon ?
Ben ouais. C'était sympa.

there's something wrong with me

J'ai un problème, docteur.


Je ne veux pas mourir.

masks and casks

Ha ha, moi qui allais parler de masque, je me suis fait coiffer au poteau !
Bon disons juste que je rebondis alors. Ma question sera donc : quel masque portez-vous ? Celui que vous vous êtes construit, celui d'un autre ou encore celui qu'on aimerait vous voir porter ?
J'en connais de chaque sorte. Les personnes qui portent le masque des autres finissent par être agaçantes. Surtout quand elles vous piquent le vôtre, que vous avez eu du mal à construire au fil des déceptions. Nous portons tous un masque. Le masque est une œuvre collée au visage. Elle a ses concepts, sa logique, ses références, son style. Ne vous avisez jamais de copier un style ou un concept, ne faites jamais comme si c'était vous, comme si ça sortait spontanément. Nous saurons repérer les pastiches.
Mais continuons de porter des masques ; continuons d'en faire porter. Ensemble, modelons la réalité.

about change

Vous savez, je suis toujours surpris de voir comme les gens connaissent leurs points faibles et surtout les traits de caractères les plus désagréables aux autres. En fait j'ai beaucoup de mal à cerner les miens.
Certains à qui on en fait part vous disent "oui, je le sais, je suis rancunier et hautain, je suis égoïste et il m'arrive souvent de faire du mal aux autres ; mais je ne changerai pas". Pourquoi ? "Tu comprends, je serais plus ce que je suis, si je changeais." Ouaih. Tu serais mieux. Plus appréciable, plus sympathique, plus sociable, tu serais une personne qu'on hésite pas à inviter régulièrement. Alors pourquoi se limiter à ses plus mauvais aspects ? Pourquoi les garder si précieusement ?
Loin de moi l'idée de signifier que je suis meilleur que d'autres, j'ai moi-même mes défauts et ai parfois du mal à me contrôler.

"Monster Hospital, can you please release me?
You hold my hands down, I've been bad.
You hold my arms down, I've been bad.
I've been bad, I've been bad."

on happiness

Je viens d'apprendre que le bonheur se calculait. Oui. Sur cinq points même. Le premier serait l'altruisme. C'est tout à fait étonnant de revenir à cette conception du bonheur sachant que notre société a lutté pour passer d'une vision Judéo-chrétienne d'entraide, d'amour du prochain, etc. à un chacun pour soi propre au capitalisme. Je ne me souviens pas tous les autres points, il y avait l'environnement de travail, quelque chose sur l'être plutôt qu'avoir, la vie de couple... Ainsi donc si ces points sont maîtrisés, nous pouvons accéder au bien-être. Wahou merci.
Bon... Faut bien dire que l'altruisme c'est pas mon fort. Et puis la vie de couple ben... Non plus. En ce qui concerne mon être, je ne sais pas trop quoi vous en dire, mais il ne travaille pas ! Et puis imaginez un monde où tout le monde s'aime, tout le monde s'aide. Bienvenue au pays des Bisounours. Vous devrez bien avouer que les Bisounours sont übber flippants, du reste... Non mais sérieux je trouve ça un peu déplacé de nous dire ça. Et puis ça sonne un peu comme une évidence, mais ça c'est les restes plutôt denses d'une Europe Catholique.
Bon je ne vais pas m'éterniser là-dessus, ce sont des réflexions un peu superficielles et j'ai la flemme de creuser plus profond.

life of the wicked

Eh bien eh bien, comme on y va. A peine ouvert, voilà que je me remets à vous poster un article. Vous ? Bon c'est pour l'unique visiteur actuel. Et les futurs qui je l'espère, se presseront tous à l'accueil de ce petit blog, par centaines, que dis-je, par milliers !
Vous savez, je me demande encore ce qui va en ressortir. Me mettrai-je à diluer mes malheurs sur ces pages ou resterai-je pudique et les billets impersonnels et ennuyeux ?
Je penche déjà vers les petites déceptions de la vie, toutes ces conneries qu'on a envie de partager. Étonnamment, j'ai une petite vie tout à fait agréable, au fond... Mais voilà, nous sommes tous égaux face au malheur et la misère n'a rien à voir avec ça.
Qu'en est-il de l'amour ? Ah l'amour, ha ha, ça me fait doucement rire et pourtant j'ai toujours tendance à le prendre au sérieux. J'aime énormément de personnes.



"How's Lucy ?

It's over.

Well I liked her.

You never met her.

I liked her anyway."


Je ne sais pas à quoi c'est dû. Pourtant j'ai aussi cette facilité à mépriser une grande partie de ceux qui croisent mon chemin. Ne vous méprenez pas : vous croisez mon chemin plus que je ne croise le vôtre.
Toutes mes relations sont basées sur des choses différentes. J'apprends des gens, ou tout du moins j'y mets le plus de volonté possible. Vous êtes là pour moi ; ça a toujours été mon discours et le sera pour longtemps encore. Connaître les gens est une chose fascinante. Jamais je n'ai connu personne et suis admiratif devant les rares à y parvenir. M'est avis que lorsque l'on connait une personne entièrement, dans son essence même, on est bien proche de sa propre Humanité. Ce que j'écris là peut paraître un peu naïf ; je suis naïf (et je vous emmerde).
Rien ne me plaît plus que découvrir l'autre, semblable à moi-même et pourtant d'un mystère total.

on how to begin

Quelle surprise que de me retrouver depuis bien des années dans la peau d'un blogger.

En effet, voilà plus de cinq ans que je n'ai écrit quoique ce soit sur un site personnel et l'idée ne m'était même pas revenue. Mais voilà, récemment, les choses ont changé.
Oui, depuis peu il semblerait que ces étranges encarts personnels soient devenus le moyen de communication secret de certains de mes amis. Ne voulant être en reste et désirant moi aussi faire passer des messages désagréables mais vaguement déguisés, jamais accusatifs, limite en fourbe, j'ai décidé de créer "Ride my dix", fenêtre ouverte sur les autres ; de moi à vous, jamais l'inverse.
Vous lirez ici des réponses, mais aussi des réflexions éparses, vous verrez des jolies photos si je suis d'humeur et parfois des extraits de ceci ou cela.
Je suis un garçon bordélique.